Le revenu minimum, connu en République tchèque sous le sobriquet de
minimum vital, doit augmenter. C’est la position des syndicats du pays,
dont le leader de la principale centrale tchèque, Josef Středula, a
appelé ce lundi la ministre du Travail et des Affaires sociales, Michaela
Marksová, à revenir sur la décision gouvernementale de renoncer à cette
hausse. La discussion a porté également sur l'intérim et les
conditions de travail pratiquées par certaines agences. La ministre a
qualifié leurs employés « d’esclaves des temps modernes ».