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Chers amis auditeurs, nous sommes en pleine inondation. Ici, on attend que les eaux se dégagent pour commencer le nettoyage, le séchage et faire le bilan des dégâts, dans plusieurs cas immobiliers. Là on attend la crue comme c'est le cas, cette journée de vendredi, en Bohême du nord.

Bonnes vacances et joyeuse villégiature pour nos auditeurs qui sont au bord de la mer, en montagne, dans leur maison de campagne ou tout simplement dans leur jardin, à s'offrir le plaisir du soleil et du frais. Economie-commerce de Radio Prague vous donne donc un rendez-vous estival, autour d'une table, dans un restaurant pragois, avec madame Marlène Salomon. Et le restaurant porte son nom, "Chez Marlène".

Canicule ou pas, période estivale ou pas, il faudrait vraisemblablement beaucoup plus pour mettre en vacances les patrons des services douaniers tchèques et français. La République tchèque et la France viennent en effet de signer, ce mardi, un accord dit de "jumelage" entre leurs douanes respectives.

L'interdiction temporaire de l'importation en Tchéquie de la volaille en provenance des pays de l'Union européenne, avait soulevée moult critiques. Cette interdiction était surtout motivée par des raisons d'ordre administratif, bien qu'une mise au point ait été nécessaire. Quelles raisons étaient en fait celles de la Tchéquie ?

La Saison tchèque en France. Son volet culturel bat son plein cet été, mais le volet commercial commencera à son tour dès l'automne. Nous en avons vu un premier aspect dans un entretien accordé à Radio Prague par M. Dominique Mauppin, conseiller économique et commercial de l'ambassade de France.

Le volet économique de la Saison tchèque en France, c'est à partir de cet automne. En quoi consiste ce volet ? C'est l'objet de cette émission et de la prochaine, dans notre rubrique Economie-commerce. Des questions auxquelles répondra M. Dominique Mauppin, Conseiller économique et commercial de l'Ambassade de France à Prague.

Une fois n'est pas coutume, nous revenons dans ce programme économie-commerce sur l'entretien accordé à notre station par M. Claude Jorda, président du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, lequel est venu à Prague parler aux étudiants de la Faculté de droit de l'Université Charles de la justice internationale et précisément de la Cour pénale internationale, qui a ouvert ses portes ce 1er juillet.

Lors de nos émissions précédentes d'Economie-commerce, nous avons commencé et continué un entretien sur l'immigration, avec M. Jean-Claude Concolato, Délégué du Haut commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). Nous le clôturons, aujourd'hui, en mettant la lumière, notamment sur le problème de la discrimination et la persécution en tant que facteurs poussant à l'émigration mais qui n'ouvrent pas systématiquement droit à l'asile.

Deux dates capitales dans la question des réfugiés en Europe : la réunion, fin mai dernier, des ministres de l'Intérieur des 28 pays d'Europe, puis, le sommet de l'Union européenne à Séville avec, à l'ordre du jour et en premier lieu, l'immigration clandestine. C'est entre ces deux dates, donc, qu'interviennent nos entretiens avec M. Jean-Claude Concolato, Délégué du Haut commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). Après avoir vu dans l'émission précédente d'économie-commerce l'accueil des réfugiés, le fonctionnement des centres d'accueil et leur nombre, l'entretien portera, cette fois-ci, sur des notions fondamentales comme la notion de réfugié et celle de persécution ainsi que l'insertion des réfugiés dans la société d'accueil.

Deux dates capitales dans la question des réfugiés en Europe : la réunion, fin mai dernier, des ministres de l'Intérieur des 28 pays d'Europe, puis, le prochain sommet de l'Union européenne, les 21 et 22 juin à Séville (Espagne) qui discutera, en premier lieu, de l'immigration clandestine. C'est entre ces deux dates, donc, qu'interviennent nos entretiens avec M. Jean-Claude Concolato, Délégué du Haut commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).