Au Conseil de sécurité de l'Etat, le président de la République, Vaclav
Klaus, a répété ce qu'il a déjà dit plusieurs fois. L'opinion des
politiciens ne devrait pas différer de celle de la majorité de la
population. En ce qui concerne l'Irak et une éventuelle guerre, la
majorité des Tchèques est contre l'emploi de la force. Le Président a
rencontré, à ce sujet, le chef du gouvernement, Vladimir Spidla, encore
avant la réunion du Conseil de sécurité.