Le groupe parlementaire du parti social-démocrate a constaté à
l'unanimité que les sociaux-démocrates n'exprimeraient pas la confiance
à la coalition gouvernementale que Mirek Topolanek, chef de l'ODS,
envisage de former. Elle comprendrait les sociaux-démocrates, les
chrétiens-démocrates et les Verts. Petr Necas, vice-président de l'ODS,
y a réagi en déclarant que la social-démocratie poursuivait sa
politique destructrice.