Selon le vice-premier ministre tchèque Jiri Cunek, le rapport entre
l'Etat tchèque et les Eglises, y compris les questions de propriétés,
pourraient être arrangé avant trois ans. La base de cette solution
serait, selon le vice-ministre, une loi sur la restitution qui
permettrait notamment aux congrégations et ordres religieux de demander
la restitution des biens qui leur avait été confisquées. Les biens dont
la restitution ne serait pas sollicitée, resteraient la propriété de
l'Etat. Pour les biens religieux qui ne seront pas restitués, l'Etat
devrait accorder des compensations à leurs anciens propriétaires.