C'est surtout la base antimissiles américaine en Europe qui anime les
discussions, lors de la visite officielle de quatre jours du président
tchèque, Vaclav Klaus, à Moscou, qui a commencé vendredi. Il a été
constaté que le dialogue étaient nécessaire, afin que les deux parties se
comprennent. Le chef de l'Etat tchèque a attendu un "niet"
catégorique de la part de son homologue russe, Vladimir Poutine, en ce qui
concerne l'implantation d'un radar américain qui ferait partie de la base,
sur le territoire de la Tchéquie. D'un autre côté, Vladimir Poutine a, de
nouveau, condamné l'invasion de la Tchécoslovaquie en 1968 et son
occupation ultérieure. D'importants documents ont aussi été signés
concernant la coopération économique entre les deux pays.