C'est la production de pervitine, la méthamphétamine tchèque, qui reste
le plus grand problème dans la lutte contre le trafic de stupéfiants en
République tchèque. Selon le directeur de la Centrale nationale
antidrogue Jakub Frydrych
qui présentait mardi le rapport annuel de la Centrale, cette situation
est due entre autres à l'accessibilité des médicements contenant de la
pseudoephédrine.
La Tchéquie est, selon Jakub Frydrych, toujours le plus grand
consommateur de
méthamphétamine en Europe. L'année dernière, la police a découvert en
dans le pays 341 laboratoires pour la production de cette drogue.