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Les habitants du nord-ouest du pays, déjà durement sinistrés par les inondations du week-end dernier, pourraient à nouveau être touchés par les conséquences des pluies annoncées pour cette fin de semaine. Des milliers de foyers restent évacués dans la région de Liberec après les crues qui ont provoqué la mort de cinq personnes et des dégats estimés à plusieurs milliards de couronnes. Les pluies prévues pour les prochains jours pourraient provoquer des inondations dans les région de Plzeň, de Liberec et d'Ustí nad Labem.

La croissance du Produit intérieur brut (PIB) en République tchèque s'est légèrement accélérée au deuxième trimestre à 0,8% en rythme trimestriel en données corrigées des variations saisonnières, après 0,5% au premier trimestre, a rapporté vendredi l'office des statistiques (CSU). Sur la base annuelle, le PIB tchèque a augmenté de 2,2% au deuxième trimestre, selon cette première estimation officielle. « La hausse du PIB sur la base annuelle a été positivement influencée, tout comme au premier trimestre, par une croissance de l'industrie manufacturière », indique le CSU dans son rapport. « Des progressions annuelles ont été également enregistrés dans le secteur des transports et celui des services », lit-on dans le document.

Le président tchèque Vaclav Klaus sera la première victime d'importantes mesures d'austérité envisagées par le nouvel exécutif, avec un salaire réduit et soumis à l'imposition, a indiqué vendredi le porte-parole du gouvernement Martin Kupka. La réduction envisagée du salaire présidentiel "fait partie d'un projet complexe de réduction des salaires des hommes politiques, mais aussi par exemple des juges", a déclaré M. Kupka à l'AFP. Non imposable jusqu'à présent, le salaire mensuel de base du président de la République se chiffre à 196.600 couronnes (7.900 euros), somme qui s'ajoute à 190.500 couronnes (7.650 euros), également non imposables, d'un fonds de représentation destiné à couvrir différents frais liés à la fonction. Le président Klaus verrait sa rémunération mensuelle nette réduite de 64.350 couronnes (2.580 euros), selon un calcul fait vendredi par le quotidien économique Hospodářské noviny.

C’est Daniel Herman, ancien porte-parole de la conférence épiscopale tchèque, qui devient le nouveau directeur de l’Institut pour l’étude des régimes totalitaires. Il a été élu par cinq voix contre deux par le Conseil de l’Institut qui l’a choisi parmi neuf candidats. L’Institut est source de nombreuses critiques et controverses depuis plusieurs mois, notamment suite à la médiatisation de diverses affaires, à cause également des changements de personnel, et surtout de la gestion des archives de la sécurité d’Etat communiste (StB) et de leur numérisation. Le nouveau directeur aura pour mission d’apaiser les tensions et de mettre un terme aux diverses polémiques.

Une soixantaine de ressortissants tchèques attendent toujours leur évacuation dans la région du Ladákh, au nord de l’Inde. Douze ont déjà été rapatriés vers la capitale indienne, New Dehli, d’où ils partiront pour rejoindre la République tchèque. Des informations communiquées par l’ambassadeur tchèque en Inde, Miloslav Stašek. Ce dernier a aussi informé que l’Université de Bohême du Sud a réussi à contacter 11 Tchèques membres d'une expédition scientifique, qui ont indiqué vouloir poursuivre leur travail. L'ambassade reste sans nouvelles de neuf autres ressortissants tchèques. Des centaines de personnes sont toujours disparues après ces récentes inondations.

La première du dernier film de Jan Švankmajer se déroulera lors du prochain festival international de Venise. Cette production tchéco-slovaque intitulée Přežít svůj život (teorie a praxe) - Surviving Life (Theory and Practice) en anglais - sera présentée hors compétition. La 67e édition de la Mostra de Venise se déroulera du 1er au 11 septembre prochain. Le film devrait sortir dans les salles tchèques le 4 novembre. Jan Švankmajer, 76 ans, est considéré comme l'un des plus grands artistes et cinéastes surréalistes tchèques.

Le Tchèque Tomas Berdych, tête de série n°7, s'est qualifié pour les quarts de finale des masters de Toronto en battant l'Ukrainien Oleksandr Dolgopolov en trois sets 6-3, 6-7 (5/7), 6-4. Il affronte vendredi soir (avec le décalage horaire) le Suisse Roger Federer, tête de série numéro 3, qui a battu le Français Michael Llodra par deux sets à zéro 7-6 (2) et 6-3. Les Masters de tennis de Toronto sont une épreuve du circuit masculin ATP dotée de plus de deux millions de dollars. Lors de la dernière rencontre entre les deux hommes, en finale du tournoi de Wimbledon, c'est le Suisse qui l'a emporté trois sets à zéro.

Favori avant l'heure du Grand Prix de République tchèque, Jorge Lorenzo a réalisé ce vendredi le meilleur temps des premiers essais libres disputés sur le circuit de Brno. Auteur d'un chrono référence de 1'57"215, le pilote Yamaha a devancé la Honda de Dani Pedrosa (1'57"756) et l'autre Yamaha de l'Italien Valentino Rossi (1'57"821). Casey Stoner, sur Ducati, s'est lui contenté du 7e temps, en 1'58"532. De retour à la compétition un mois après s'être double fracturé la jambe gauche en Allemagne, Randy de Puniet a repris ses marques au guidon de sa Honda LCR en signant le 16e chrono, à près de trois secondes de Lorenzo. Epreuves à suivre tout au long du week-end.

L'international tchèque Jan Polak a prolongé son contrat au Sporting d'Anderlecht pour une saison supplémentaire, a annoncé le club bruxellois vendredi. Le milieu de terrain, 29 ans, est ainsi lié avec les champions de Belgique jusqu'en juin 2012. "Après une discussion constructive entre le staff technique, la direction du RSCA et Jan Polak, le joueur a prolongé son contrat d'une saison. Le Royal Sporting Club Anderlecht veut réaliser ses nombreux ambitions sportives. Un joueur comme Jan Polak peut être un maillon important dans la réalisation de celles-ci. Nous sommes heureux d'avoir pu résoudre certains différends avec Jan", a expliqué Herman Van Holsbeeck, directeur général du RSCA, dans un communiqué.

C’est Daniel Herman, ancien porte-parole de la conférence épiscopale tchèque, qui sera sans doute le nouveau directeur de l’Institut pour l’étude des régimes totalitaires, d’après deux sources indépendantes rapportées par l’agence de presse CTK. Le Conseil de l’Institut l’aurait choisi parmi neuf candidats. L’Institut est source de nombreuses critiques et controverses depuis plusieurs mois, notamment suite à la médiatisation de diverses affaires, à cause également des changements de personnel, et surtout de la gestion des archives de la sécurité d’Etat communiste (StB) et de leur numérisation. Le nouveau directeur aura pour mission d’apaiser les tensions et de mettre un terme aux diverses polémiques.