A bâtons rompus avec des marchands de vin

Tunisie

La semaine qui nous quitte aura été marquée en Tchéquie par la Foire internationale des boissons, de la gastronomie, des vins et spiritueux, dans sa sixième édition, et qui est connue sous l'appellation simple : la foire aux vins. Elle a lieu une fois par an. Cette foire a commencé lundi dernier à Prague et a fermé ses portes mercredi. Une ère d'exposition de 6 400 m2 pour 210 exposants, soit une augmentation de 20% par rapport à l'an dernier. Cette année, le nombre des visiteurs a atteint les 60 000.

Nous avons retenu pour cette rencontre hebdomadaire un entretien avec un grossiste en vins pragois. Cela n'a pas été courant les années précédentes, surtout quand il parle français. Une première, donc, sur nos antennes. M. Stanislav Seidl, qui a une trentaine d'années en Suisse derrière lui, est revenu au pays avec une idée précise : importer du vin, le commercialiser et gagner. Ils nous parlera de son expérience et jugera le marché et la qualité des vins tchèques. S'il en dit du bien alors que ce sont ses concurrents, on peut le croire sur parole. Nous avons aussi donné la parole à de nouveaux venus sinon sur le marché tchèque, du moins à la foire : les Tunisiens. Ils ont du soleil, la Méditerranée, et donc du bon vin ; ils se sont mis dans la compétition, et sont décidés à gagner du terrain sur le marché tchèque. M. Chaabane Lassâad de GIVI, Tunisie, nous en dira plus.

Auteur: Omar Mounir
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