Par ailleurs, si le gouvernement tchèque décide d’apporter sa contribution au renflouement du Fonds monétaire international, afin que celui-ci puisse aider la zone euro à sortir de la crise budgétaire, la somme allouée serait « très nettement inférieure » aux 3,5 milliards d’euros demandés. C’est ce qu’a déclaré, ce mercredi, le Premier ministre, Petr Nečas, en précisant que le gouvernement n’avait encore pris aucune décision sur ce prêt éventuel. Le dossier sera de nouveau débattu la semaine prochaine. Le chef du gouvernement a indiqué que l’opinion qui dominait au sein de la coalition est que l’octroi d’un prêt d’un montant aussi élevé était exclu. Dans la matinée de mercredi, le ministre des Finances, Miroslav Kalousek, a démenti l’information publiée par le quotidien Mladá fronta Dnes, selon laquelle le gouvernement aurait décidé de prêter 2 milliards d’euros.
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