Démenti : Dienstbier n'était pas en contact avec les services secrets communistes

Contrairement à ce qu'elle avait annoncé lundi, la Radio publique tchèque a fait savoir sur son site Internet que le sénateur du parti social-démocrate Jiri Dienstbier n'avait pas été en contact direct avec les services militaires du contre-espionnage sous le régime communiste. Si le sénateur avait bel et bien un dossier chez les services secrets, c'est uniquement parce que ceux-ci avaient envisagé d'entrer en contact avec l'ancien dissident, avant de renoncer. Dienstbier était fiché par les services dès les années 1960 mais a été rapidement éliminé de la liste des potentielles personnes recrutables.