Divergences de vues des chefs de gouvernement tchèque et italien sur la constitution européenne

Les premiers ministres italien et tchèque, Romano Prodi et Mirek Topolanek, n'ont pas trouvé un langage commun sur la future orientation de l'Union européenne. Lors de sa rencontre à Prague avec son homologue tchèque, le premier ministre italien a signalé que le gouvernement de son pays considère le Traité constitutionnel, ayant déjà été rejeté par la France et la Hollande, comme la base de la réforme de l'Union. Par contre, le cabinet Topolanek se montre très critique vis-à-vis du Traité constitutionnel sous la forme actuelle et se prononce pour l'adoption d'un autre texte sensiblement raccourci.

Auteur: Václav Richter