La Cour constitutionnelle a soutenu une personne licenciée qui a enregistré en secret son entretien avec la direction

La Cour constitutionnelle a soutenu la plainte d’un homme qui lutte contre son licenciement de l’antenne tchèque d’une entreprise allemande. Celui-ci a fait valoir auprès du tribunal régional de Brno un enregistrement secret de son entretien avec la direction. Néanmoins, le tribunal ne l’a pas accepté comme preuve. La Cour constitutionnelle estime que dans le cadre du droit de travail, il s’agissait de défense de la partie plus faible du différend et a renvoyé l’affaire pour le réexamen. En même temps, les juges se sont exprimés contre l’enregistrement secret de la communication car cela crée une atmosphère de peur et de soupçon.