La République tchèque fait partie des pays accusés par Amnesty International de vendre des armes et autres équipements utilisés comme instruments de tortures

Amnesty International dénonce les entreprises européennes qui font commerce d’« équipements de police et de sécurité conçus pour infliger la torture et d’autres types de mauvais traitements ». Dans un rapport intitulé Des paroles aux actes, Amnesty écrit notamment que « la République tchèque a autorisé l’exportation d’entraves, d’armes à décharge électrique et d’aérosols de produits chimiques – et l’Allemagne celle d’entraves pour les chevilles et d’aérosols de produits chimiques – à neuf pays où la police et les forces de sécurité avaient déjà par le passé utilisé des équipements de ce type pour perpétrer des actes de torture et d’autres types de mauvais traitements ».