Le Premier ministre refuse le « chantage » de la social-démocratie

Lors d’une conférence de presse, tenue à l’issue de la réunion de la direction du Parti civique démocrate, leader de la coalition gouvernement, le Premier ministre Mirek Topolánek a déclaré qu‘il refusait de se plier aux revendications de la social-démocratie, qui pratiquement du chantage, en échange d’un accord sur la tolérance de son gouvernement pendant la présidence tchèque de l’Union européenne. Il a déclaré : « Ce que nous voulons c’est que les ministres et les fonctionnaires puissent réaliser l’intérêt national tchèque, donc la présidence tchèque de l’Union. »