Relance de soupçons de corruption en lien avec l’achat de véhicules blindés Pandur

La police se penche à nouveau sur l’achat de véhicules blindés Pandur pour l’armée tchèque. Le quotidien Mladá fronta Dnes a en effet révélé cette semaine d’autres éléments tendant à prouver que certains hommes politiques tchèques auraient accepté des pots-de-vin en échange d’un contrat avec la société autrichienne Steyr pour l’achat de 107 véhicules Pandur d’une valeur de 14,4 millions de couronnes. Le Premier ministre Jan Fischer a fait savoir qu’il entendait que la lumière soit faite sur cette affaire. Les représentants des deux principaux partis politiques tchèques, le ČSSD et l’ODS ont nié tout implication.

Auteur: Anna Kubišta