Selon le chef de la diplomatie tchèque la patience tchèque avec les militants contre la centrale de Temelin a ses limites

Les blocages des passages frontières entre l'Autriche et la République tchèque à cause de la centrale nucléaire de Temelin en Bohême du Sud nuisent à l'amitié entre les deux pays et la patience tchèque avec ces blocages n'est pas sans limites. C'est ce qu'a dit à son homologue autrichienne Ursula Plassnik, le chef de la diplomatie tchèque Karel Schwarzenberg. Selon le ministre tchèque, Ursula Plassnik a exprimé sa compréhension pour l'attitude tchèque et manifesté la volonté de chercher la solution de ce problème. Elle a constaté cependant qu'il n'est pas dans le pouvoir des autorités autrichiennes d'interdire les manifestations des militants contre la centrale de Temelin.

Auteur: Václav Richter